Saturday, April 12, 2003
Guardia Nacional reforzó la seguridad en el casco central de Caracas
Posted by click at 5:31 AM
<a href=www.el-carabobeno.com>El Carabobeño
(10:49 AM)
Desde tempranas horas de la mañana de este viernes la Guardia Nacional reforzó la seguridad en diferentes zonas del centro de la capital para evitar que marchas y concentraciones puedan movilizarse hasta las inmediaciones del Palacio de Miraflores, informó El Nacional.
A un año de la "Masacre de El Silencio" la GN ha decidió redoblar el número de efectivos en la zona de El Calvario y en la avenida Urdaneta. Con barricadas de seguridad y hasta con tanquetas armadas los funcionarios militares se mantienen apostados en los accesos que dan comunicación al palacio presidencial de Venezuela
Asimismo, los alrededores de la Asamblea Nacional están siendo custodiados por uniformados que -según reportes radiales- tiene órdenes de evitar cualquier actividad violenta en la zona.
Estatal taiwanesa participará en explotación petrolera venezolana
<a href=www.el-carabobeno.com>El Carabobeño
(10:11 AM)
Taipei.- La estatal taiwanesa "Chinese Petroleum Corp." (CPC) anunció hoy que invertirá 550 millones de dólares en la explotación del campo petrolífero venezolano de Corocoro, que producirá 55.000 barriles de crudos diarios para mediados del 2005, tras obtener el permiso correspondiente del Gobierno venezolano, informó Efe.
CPC planea realizar la inversión a través de su filial, "OPIC Karimum Corp", donde posee el diez por ciento de las acciones, y tendrá como socios a la estadounidense "ConocoPhilips Co." y a la italiana "AGIP", con un 50 por ciento y un 40 por ciento de participación respectivamente.
El vicepresidente de CPC, Roy Chiu, declaró que el permiso de explotación concedido al consorcio, que explora el campo petrolífero de Corocoro desde 1996, permitirá recuperar los gastos y comenzar un periodo de ganancias.
El directivo expresó su satisfacción por el acuerdo y recalcó que ayudará a solventar la dependencia de la isla en la importación de crudo y a diversificar las fuentes de suministro.
Por su parte, Su Fu-chen, director del Departamento de Exploración y Producción de CPC, añadió que la empresa espera obtener 4.000 barriles de petróleo diarios en cuanto comience la explotación del campo.
La compañía, que ha registrado pérdidas en otras prospecciones, también prevé que la explotación produzca 100.000 barriles diarios para el 2009.
"Esperamos que en el plazo de cinco años las ganancias de este proyecto constituyan el 30 por ciento de los ingresos totales de CPC", recalcó Chiu.
Sin embargo, Chiu destacó que la Corporación Venezolana del Petróleo (CVP), filial de Petróleos de Venezuela, tiene la opción para comprar entre el 1 y el 35 por ciento de las acciones del proyecto, lo que puede hacer disminuir la participación taiwanesa.
Procter & Gamble fait une offre publique d'achat au comptant sur les actions privilégiées de Wella
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Procter & Gamble-Communiques de Presse
08/04/2003 à 00:40:00
Liste des cp
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Cincinnati, OH, le 9 avril /PRNewswire/ -- Procter & Gamble Company a annoncé aujourd'hui qu'elle avait l'intention de faire une offre publique d'achat au comptant de 61,50 euros par action privilégiée de Wella AG
Cincinnati, OH, le 9 avril /PRNewswire/ -- Procter & Gamble Company (PG à la Bourse de New York) a annoncé aujourd'hui qu'elle avait l'intention de faire une offre publique d'achat au comptant de 61,50 euros par action privilégiée de Wella AG (WAD3 à la Bourse de Francfort).
Le 18 mars 2003, P&G a annoncé qu'elle avait signé un accord en vue d'acquérir une participation dominante auprès de la majorité des actionnaires à droit de vote de Wella AG et qu'elle allait également faire une offre publique d'achat aux porteurs d'actions privilégiées de Wella pour une valeur de rachat de 61,50 euros l'action. De plus, la société avait indiqué qu'elle pourrait proposer des actions de P&G aux porteurs d'actions privilégiées de Wella AG à la place des espèces. Les actions auraient été échangées selon la même valeur que l'offre au comptant.
La complexité supplémentaire que représentait la possibilité d'échanger des actions aurait pu retarder considérablement la procédure d'approbation réglementaire. Afin d'accélérer le processus de l'offre, P&G a donc décidé de ne soumettre qu'une offre au comptant.
Procter & Gamble déposera les documents concernant son offre publique d'achat à la Bundesanstalt fur Finanzdienstleistungsaufsicht (BaFin) au cours de la semaine du 7 avril 2003 pour examen. En supposant que la société obtienne l'accord des organismes réglementaires, elle devrait lancer son OPA auprès des actionnaires de Wella A.G. à la fin avril, une fois l'offre approuvée par les organismes de réglementation.
Tous les énoncés autres que de nature historique compris dans ce communiqué représentent des énoncés prospectifs, tels qu'ils sont définis par la Private Securities Litigation Reform Act of 1995. En plus des risques et des incertitudes précisés dans ce communiqué, certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des résultats escomptés dans certaines déclarations. Parmi ces facteurs, mentionnons : (1) la réalisation des économies de coûts et d'impôts prévues relativement aux changements dans la structure organisationnelle de la société; (2) la capacité d'atteindre les objectifs d'affaires, y compris l'augmentation rentable des volumes, malgré une concurrence intense, particulièrement pour ce qui est des catégories de produits et des marchés géographiques sur lesquels la société a choisi de se concentrer; (3) la capacité de gérer et de maintenir des relations avec la clientèle clé; (4) la possibilité de réaliser une croissance sur d'importants marchés en développement, comme la Chine, la Turquie, le Mexique, la pointe sud de l'Amérique latine, les pays d'Europe de l'Est et d'Europe centrale et les pays d'Asie du Sud-Est; (5) la capacité de gérer avec succès les questions réglementaires, fiscales et légales, notamment trouver des solutions aux problèmes courants sans dépasser les estimations actuelles; (6) la capacité de réussir à mettre en place, à réaliser et à maintenir des plans d'amélioration des coûts dans les secteurs de la fabrication et des frais généraux; (7) la capacité de bien gérer les risques associés aux monnaies (y compris les problèmes monétaires en Amérique latine), aux taux d'intérêts et à certains coûts des services publics; (8) la capacité de gérer l'incertitude politique ou économique continuelle en Amérique latine (y compris au Venezuela) et au Moyen-Orient, de même que toute incertitude politique ou économique résultant d'activités terroristes ou de la guerre (incluant la Corée); et (9) la réussite de l'acquisition, de la transition, de l'intégration et de l'exploitation des activités de Wella. Si les suppositions et les estimations de la société étaient incorrectes ou ne se réalisaient pas, ou si la société ne parvenait pas à atteindre ces facteurs clés, ses résultats réels pourraient alors considérablement différer des énoncés prospectifs ci-dessus. Pour de plus amples détails sur ces facteurs qui pourraient entraîner une différence entre les résultats réels et ceux escomptés ci- dessus, veuillez vous référer aux plus récents rapports sur formulaires 10-K, 10-Q et 8-K.
A propos de Wella
Fondée en 1880, Wella est une importante entreprise de soins de beauté qui vend ses produits dans plus de 150 pays. Les trois divisions de la société regroupent les soins professionnels pour cheveux, les soins pour cheveux en vente libre et les cosmétiques et parfums. Parmi ses marques les plus connues, mentionnons les gammes professionnelles de soins pour cheveux Wella(MD), Koleston(MD), Sebastian(MD), Graham Webb(MD) et High Hair(MD); les soins pour cheveux grand public Wellaflex(MD), ShockWaves(MD), Ultra Sheen(MD) et Vivality(R); et les parfums Gucci(MD), Rochas(MD), Escada(MD) et Montblanc(MD). Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web à l'adresse www.wella.com.
P&G en bref
P&G commercialise une série de marques de produits de beauté et de santé bien connues, dont Pantene(MD), Head & Shoulders(MD), Olay(MD), Clairol Nice'n Easy(MD), Herbal Essences(MD), Cover Girl(MD), Max Factor(MD), Noxzema(MD), Old Spice(MD), Hugo Boss(MD), Crest(MD), Vicks(MD), Actonel(MD), PUR(MD) et bien d'autres. P&G emploie près de 102 000 personnes dans plus de 80 pays. Pour un complément d'information, veuillez consulter le site Web www.pg.com.
Procter & Gamble
Venezolanos temen a la violencia escondida tras la calma
Abril
Por Aldo Rodríguez
Caracas, abr (EFE).- Con escepticismo y sobre todo temor a que la violencia se oculte tras la calma de las últimas semanas los venezolanos afrontan hoy el primer aniversario del fallido golpe de Estado del 11 de abril de 2002.
Quienes están a favor o en contra del Gobierno no olvidan la fecha en que murieron 19 personas, y cerca de otras 50 más en los dos días siguientes, durante los que usurpó el poder y se autoproclamó presidente el jefe de la patronal, Pedro Carmona, actualmente prófugo en Colombia.
Pero también los meses posteriores han sido en su mayoría de gran violencia callejera, con multitudinarias marchas a favor y en contra del presidente Hugo Chávez y nuevos enfrentamientos, que dejaron al menos 12 muertos y decenas de heridos.
"No puede ser que después de tanta agitación, marchas y peleas, muertos, bombas y amenazas, ahora todos se hayan vuelto santos; aquí hay gato encerrado. Ojalá me equivoque, pero ahora que recordarán el golpe, se darán plomo de lado y lado", dijo a EFE Margarita Pachay, una empleada doméstica de 45 años.
Ante la incertidumbre de lo que pueda pasar estos días, Pachay ha enviado a sus tres hijos adolescentes a una hacienda próxima a Caracas, porque "allí están lejos de los politiqueros con los que de seguro estarían este fin de semana, pero criando pollos lejos de aquí no podrán; además de que en Caracas estaban desempleados".
Opositores y detractores de Chávez han planeado a partir de hoy y durante el fin de semana acciones en recuerdo del golpe y contragolpe de Estado que lo sacó y devolvió al poder en 48 horas en sendas rebeliones cívico-militares.
Con sólo dos días de trabajo a la semana, en una residencia cuyos dueños le pagan 15.000 bolívares (menos de 10 dólares) por jornada de diez horas, Pachay prevé "violencia dura, como la que más se ve en la televisión, porque la pobreza se ve ’en vivo’, con niños buscando comida en los potes de basura y todas esas cosas".
No titubea al afirmar que "con este Gobierno estamos peor que antes y eso que Chávez dijo que iba a acabar con todo lo malo, y en eso compite con los opositores, que lo único que hacen es andar peleándose entre ellos y llamando a huelgas".
Henry Navas, vigilante de una gasolinera situada frente a uno de los centros comerciales saqueados en las revueltas de hace un año, también cree que "nada bueno nos espera en estas noches que vienen", pero confía en que "a este Gobierno no lo sacará nadie".
"Tendrán que darse cuenta esos escuálidos (opositores) que en poco tiempo Chávez comenzará a hacer todo lo que prometió y que no le han dejado, con tanto paro, golpe y marchas", sostuvo.
Aunque dijo a EFE que participará "en todas las fiestas por la democracia recuperada" que preparan los seguidores del Gobierno, alertó que los opositores "marcharán también y ahí nos veremos".
"Lo que ellos en realidad quieren es que vengan más muertos y que Chávez siga sin hacer nada, para volver a robarse todo", manifestó.
Para Navas, "si este presidente roba, bueno; pero robará mucho menos de que lo que se llevaron los otros que ahora no lo dejan en paz y que quieren volver al poder para llenarse otra vez los bolsillos".
Cansada de "que si Chávez es un horror, que si es bueno o castro-comunista o lo mejor y peor que necesitaba Venezuela y de todo este ’blablá’ insoportable", Sofía Cruz zanjó el asunto.
Colgó un cartel en su pequeña librería, situada cerca de la sede principal de la empresa petrolera custodiada día y noche por "chavistas bulliciosos", donde simplemente decretó: "Aquí está terminantemente prohibido hablar de política".
"La intolerancia fanática de allá y acá asfixia y, por eso, hasta en casa quedamos en que nadie habla de política, ni siquiera con los vecinos, porque uno nunca sabe si aparece uno de tanto loco capaz de cualquier cosa si escucha decir algo diferente a lo que él piensa", afirmó.
A un año de los sucesos de abril reclaman rectificación del Ejecutivo.Empresariado se mantiene en pie de lucha contra medidas económicas
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Abril
Yngrid Yohanna Rojas
El empresariado venezolano ha asumido durante los últimos tres años una posición crítica frente a las políticas gubernamentales. El presidente de Consecomercio Julio Brazón asegura que a un año de los denominados “sucesos de abril”, no se han producido —a pesar de las manifestaciones por parte del empresariado— ningún tipo de rectificación ni corrección por parte del Ejecutivo Nacional.
“Hoy en día, el país se mantiene sin un plan económico coherente, sustentable, lo que hemos visto es la caída de los diferentes sectores que forman parte del aparato productivo nacional. Es evidente el aumento del desempleo, el incremento considerable de la informalidad y además se está trabajando dentro de un clima de profunda incertidumbre, tanto política como económica”.
El presidente de Fedecámaras, Carlos Fernández, expresó vía telefónica que un después del 11 de abril, la situación no ha cambiado, “aún continúan sin resolverse las muertes de ese día, además existen un empobrecimiento del venezolano y la situación empresarial está cada vez peor, por lo cual Fedecámaras continuará en la lucha por la recuperación de la actividad productiva del país”.
Por su parte, el presidente de Conindustria, Lope Mendoza, justifica la actuación del movimiento empresarial en los últimos tres años. “Fedecámaras y los demás organismos gremiales representativos del sector empresarial, deben ocuparse de las políticas económicas y sociales que tengan que ver con el desarrollo del sector productivo y del país”.
Fedecámaras ha ejercido un enfrentamiento público con el Gobierno nacional, en reclamo de la rectificación de algunas políticas que a consideración de los empresarios atenta contra la libre empresa y la propiedad privada. Incluso se logró una alianza histórica con la Confederación de Trabajadores de Venezuela, para llevar a cabo tal fin.
La administración del presidente Hugo Chávez, no se ha quedado atrás. Tras la realización de un paro cívico nacional que duró dos meses y con el antecedente del breve gobierno del ex presidente de Fedecámaras, Pedro Carmona Estanga, el primer mandatario nacional, no se ha cansado de llamar a los empresarios “golpistas”.
Una lucha más allá del carácter económico
Para el presidente de Consecomercio, el empresariado nacional ha asumido una lucha más allá de los temas eminentemente de carácter económico. “Hemos insistido en luchar para preservar la democracia, el estado de derecho y la institucionalidad. El empresariado se ha puesto al lado de la lucha que ha emprendido la sociedad civil, entendido que nosotros somos primero ciudadanos venezolanos y luego empresarios”.
Por esta razón, Brazón alega que el tema de las elecciones es prioridad nacional. “Existe la necesidad de una búsqueda electoral a la crisis de gobernabilidad que vive el país, ha sido una bandera a la cual se ha sumado el empresariado nacional, con plena identificación con el pueblo de Venezuela”.
Para Julio Brazón, la lucha tiene que continuar “tiene que permitirse el empresariado nacional exprese su desesperación, su angustia frente a un país que está inmerso en este momento en una profunda crisis económica que se está produciendo de manera sustancial el cierre de establecimientos comerciales, el cese de las operaciones de las empresas”.
Según el representante del sector comercial, ahora más que nunca debe continuar la voz de alerta. Argumenta que con la implantación del control de precios y del control de cambio, “que durante más de 70 días no se le ha otorgado a persona natural o jurídica ni un céntimo de dólar y que obviamente vemos con preocupación cómo los inventarios de nuestras empresas cada día se agostan más sin posibilidad de reponerlos, de honrar los compromisos financieros que se tienen con los proveedores internacionales y con la banca internacional”.
Expresa también que frente a la actitud del Gobierno nacional, “de no oír, de no buscar salidas, de no buscar mecanismos alternos al clamor por parte del sector empresarial venezolano quienes son los verdaderos actores del aparato productivo, pareciera que dentro de ese contexto hay una importante dosis del elemento político, más que atender o responder a los interese nacionales”.
Añade que el problema es que cada vez que se cierra un establecimiento comercial, que cesan las operaciones de una empresa, “no se está afectando sólo a la empresa sino también a una inmensa mayoría de venezolanos, debido a que su sustento depende del trabajo que realizan ene esas empresas. Cada día vemos es que los venezolanos estamos en la vía de profundización de la pobreza, la miseria, el desempleo y la informalidad”, puntualizó Julio Brazón.