Adamant: Hardest metal
Sunday, February 16, 2003

Venezuela: la crise survit à la grève

www.liberation.fr Pro et anti-Chavez se rejettent la responsabilité de la situation économique.

Par Jean-Hebert ARMENGAUD samedi 08 février 2003

epuis une semaine, la vie quotidienne a repris normalement son cours à Caracas. Restaurants et centres commerciaux ont rouvert. Les banques, qui n'ouvraient leurs guichets que trois heures par jour, sont revenues à des horaires normaux. L'opposition a en effet renoncé, lundi, à poursuivre le mouvement de grève «politique» lancé le 2 décembre pour forcer à la démission le président Hugo Chavez, l'ex-lieutenant-colonel des parachutistes élu en 1998. Ses méthodes de plus en plus autoritaires ont déclenché depuis plusieurs mois une vague de contestation, notamment des classes moyennes (Libération du 31 janvier).

Officiellement, la grève s'arrête parce que les tentatives de médiation internationale entre le gouvernement et l'opposition donnent de vagues signes de progrès. Officieusement, depuis quelques semaines, l'opposition, réunie autour de la confédération patronale Fedecamaras, de la Centrale des travailleurs du Venezuela et de la Coordination démocratique ú qui rassemble une vingtaine de partis de droite comme de gauche, et diverses organisations civiles ú, cachait mal ses divisions sur la poursuite ou non de cette grève. «Le 2 décembre, une bonne partie de l'opposition pensait mettre Chavez à terre en une semaine, une idée totalement utopique. Aujourd'hui, on se retrouve avec un pays en faillite», explique Teodoro Petkoff, fondateur du parti MAS (Mouvement au socialisme), aujourd'hui directeur du quotidien TalCual.

Bataille des chiffres. Dans un pays déjà en crise, la grève aurait provoqué, selon certains économistes, la perte de 200 000 emplois et causé la faillite de près de 20 000 PME. La chute du PIB atteindrait 10 % ú elle atteignait déjà 7 % avant le 2 décembre. La monnaie nationale, le Bolivar, a perdu près de 30 % de sa valeur en deux mois. Les réserves en devises s'épuisent : Hugo Chavez a d'ailleurs restauré, jeudi, le contrôle des changes. Et sur ce tas de ruines, chaque camp s'épuise à rejeter la responsabilité sur l'autre. «Le gouvernement, en ne voulant rien céder, a montré qu'il se foutait de la destruction de notre économie», estime Vladimiro Mujica, de la Coordination démocratique. Hugo Chavez a de nouveau traité les grévistes de «terroristes» et de «fascistes» : «Ils ont été vaincus par le peuple (...), il n'y a pas de négociations avec les traîtres, les conspirateurs, les putschistes et les saboteurs.»

Malgré la fin de la grève, la crise politique est plus aiguë que jamais. D'abord parce que le mouvement se poursuit dans l'industrie pétrolière, la plus importante du pays. Petroleos de Venezuela (PDVSA), l'entreprise publique nationale ú 50 % des recettes de l'Etat ú, est toujours semi-paralysée. Parmi les grévistes, 5 000 employés ont été licenciés, et Hugo Chavez a tenté de «militariser» la production, tout en ayant recours à des retraités et des spécialistes étrangers.

La bataille des chiffres continue : le gouvernement affirme que la production atteint 1,8 million de barils/jour. Les grévistes assurent qu'elle ne dépasse pas 1,3 million de barils/jour. En temps normal, le Venezuela, cinquième exportateur mondial, produit plus de 3 millions de barils/jour.

Nouveau front. Par ailleurs, Hugo Chavez a ouvert un nouveau «front» dans sa «révolution bolivarienne». Dans sa ligne de mire : les quatre chaînes de télévision privées du pays qui ont pris fait et cause pour l'opposition. Durant la grève, elles ont renoncé à tout spot publicitaire pour diffuser en lieu et place des annonces de soutien à la Coordination démocratique et aux manifestations. RCTV, Globovision, Televen et Venevision (propriété du magnat Gustavo Cisneros qui possède notamment, à travers Hughes Electronics, le bouquet satellite Directv, soit 300 canaux dans 28 pays) sont désormais sous le coup d'une «procédure d'enquête administrative» qui pourrait leur coûter une suspension, voire une suppression, de leur licence.

Le gouvernement doit également présenter, mardi, à l'Assemblée ú où il ne dispose plus que d'une courte majorité depuis que Chavez y a perdu de nombreux soutiens politiques ú un projet de loi de «responsabilité sociale de la radio et de la télévision», dont le seul intitulé fait frémir et qui pourrait prévoir des sanctions en cas «d'atteinte à la dignité du Président». Sur le mot d'ordre de la liberté d'expression, l'opposition a réuni des centaines de milliers de personnes, il y a une semaine, dans les rues de Caracas.

Efforts diplomatiques. Grève ou pas, les positions semblent donc toujours irréconciliables. Aux efforts diplomatiques infructueux que mène depuis octobre le secrétaire général de l'OEA (Organisation des Etats américains), le Colombien César Gaviria, sont venus s'ajouter ceux de l'ex-président américain Jimmy Carter. Le récent prix Nobel de la paix a proposé, le 21 janvier, deux scénarios de sortie de crise. Soit un amendement constitutionnel qui ramènerait le mandat présidentiel de 6 à 4 ans, qui devrait être approuvé par un référendum, le 19 août, qui renverrait en même temps Chavez devant les urnes. Soit un référendum, à la même date, qui révoquerait directement le mandat du président.

Dimanche dernier, l'opposition affirme avoir rassemblé quatre millions de signatures, soit un tiers de l'électorat, en faveur de ces deux propositions, mais Hugo Chavez s'est refusé à donner suite, en tout cas d'évoquer la moindre date. «Comme tous ceux qui se croient désignés par une force divine pour réécrire l'Histoire, Hugo Chavez a refusé de voir l'impact de ces signatures», écrit Teodoro Petkoff dans TalCual.

Autre tentative diplomatique : celle du Groupe des amis du Venezuela qui réunit, à l'initiative du président brésilien Lula da Silva, le Brésil, les Etats-Unis, le Chili, le Mexique, l'Espagne et le Portugal. Une première rencontre a eu lieu entre Hugo Chavez et des diplomates du Groupe. Selon le quotidien brésilien Folha de Sao Paulo, certains de ces derniers en seraient ressortis déjà «fatigués de l'arrogance de Chavez».

El nuevo chavez o el que no obedezca no come

mapage.noos.fr por Manuel Malaver Viendo a Chávez a mediados de semana discursear por televisión en la actitud del pulpero que vendió de contado -o sea, pleno de optimismo, seguridad y confianza- no he evitado recordarme de  dictadores como Alberto Fujimori y Slódoban Milosevic, que precisamente en la etapa crepuscular de sus mandatos era cuando parecían más convencidos de que se la estaban comiendo y habían llegado para quedarse. Espejismo que se derivaba del hecho de que siendo las dictaduras sistemas que sobreviven como resultado de la implementación de controles crecientes, siempre se tiene la sensación de que en el último momento, en los meses, semanas y días finales, es cuando mejor se tiene  agarrada la sartén por el mango. El sonriente Chávez del jueves, en efecto, era “el presidente todo control”, el mago que al fin tenía a los empresarios y dueños de medios; periodistas, gerentes y trabajadores de PDVSA; empleados públicos y profesores  universitarios en el puño y como en trance de decirles: “Hey, silencio, que si se portan mal, no hay caramelos”. El mapa parecía sencillo: ahora soy el dueño de la FAN, de PDVSA, y de los dólares, por lo que, ni economía privada, ni medios de comunicación; ni Fedecámaras, ni  CTV; ni bancos, ni compañías de seguro van a poder disfrutar de una muerte lenta y larga, en sus camas y previa administración de los santos óleos, a menos que yo lo ordene. Deducción rayana en la indolencia mental que no se esperaría de  dictadores de verdad verdad, de los que hacen sus cuentas auscultando las señales de la realidad, sino de autócratas improvisados, de utilería y pacotilla, ya que la experiencia con los regímenes totalitarios que proliferaron durante el siglo XX reveló, que los hombres no son reductibles por el hambre, y que, si se trata de arrebatarles la libertad, no hay más remedio que hacerlo acudiendo a la represión, la tortura  y la muerte. Se demostró en la Alemania de Hitler, la Rusia de Stalin, la Italia de Musolini, la China Mao, el Chile de Pinochet, y la Argentina Videla, donde las dictaduras fueron también eficientes maquinarias especializadas en el crimen, liberticidas y humanicidas. Y se continúa corroborando en las subespecies totalitarias que resistieron a la caída del Muro de Berlín y pueden todavía exhibir especímenes en Africa, Asia y América latina, aunque en trance de desaparecer. Sumun al cual no pudieron acceder el Suharto de los últimos años, y mucho menos dictadores de rango más reciente, y hasta inferior, como Fujimori y Milosevic, y no solo porque había desaparecido el mundo bipolar, sino porque el extraordinario desarrollo de las tecnologías multi comunicacionales ya no permitían asesinar en capilla, a la sombra y sin exponerse a  protestas desestabilizadoras. De modo que alguien que se empeñe en implementar proyectos totalitarios en el siglo XXI tiene que inventar otras fórmulas, ya que al final se expone a morir de asfixia política, incapaz de contener la arremetida de quienes, ni siquiera ante la amenaza de la muerte, son capaces de contener el instinto hacia la libertad. En descargo de Hugo Chávez debemos señalar que desde el momento en quese decidió a participar en las elecciones del 1998 intuyó este complejo asunto y compró disfraz y vocabulario nuevos para ver como contrabandeaba el proyecto, con el resultado de que la realidad le dijo rápidamente que por esa vía podía llegar hasta un punto y solo hasta un punto. Se empeñó en cruzar la raya, vinieron los enfrentamientos con la sociedad civil y democrática, fue negando más y más derechos,  más y más garantías, la represión moral, ideológica y judicial se convirtió en su arma favorita,  y el rostro del tradicional dictador latinoamericano es lo que está quedando de la comedia. En este momento ya estamos en el tramo que precede al control total de la economía y  la política: los controles de precios y de cambio; y la carta bajo la manga del chavismo es que una administración discriminatoria de los dólares, el cierre de los medios, la quiebra generalizada de empresas, y la amenaza de lanzar a  la calle a todo el que tenga un empleo y no acate los dictum de la revolución,  logren el milagro que no logró el “carisma” del líder: que la sociedad civil y democrática se rinda y caiga de rodillas. Fue Trostky quien escribió una vez -y no sin aquellas sombras de amargura que caracterizaron los años finales de su experiencia revolucionaria- que Stalin había transformado el principio marxista de que “el que no trabaja no come” en la orden totalitaria de que “el que no obedezca no come”, y por ahí anda ya nuestro sargento revolucionario, preparándose a colocarle una soga en el estómago a los rebeldes venezolanos, y si después de apretar y apretar no pasa nada, pues se la pone un poco más arriba, en el pescuezo, y aprieta igual. Por eso lo vi el jueves sonriente y controlando, amenazando, y con la euforia del pulpero que vendió de contado, sin duda que colgado de la ilusión de que ante la amenaza de morirse de hambre, o de irse de este mundo de una manera menos amable, los venezolanos no tendrán otro recurso que rendirse. Pero ¿será verdad tanta belleza? ¿No pasará con los controles lo que pasó con los discursos del “comandante”, que en cuanto dejaron ver su filo represivo, extorsivo e intimidatorio prácticamente se le arrojaron en la cara? ¿Es posible que Chávez, que se vanagloria, más allá de lo permisible, de su familiaridad con la Biblia, no haya internalizado aquello de que “no solo del pan vive el hombre” y que forzado a pronunciarse por valores que le son intrínsecos los hombres, no solo son capaces de sacrificar su bienestar, sino también libertad y vidas? Venezuela cuenta con ejemplos a granel, pues si hay un país en América latina que hizo de  su historia el campo de batalla de sus luchas por la libertad es este que, no a pesar de, sino a causa de, también ha visto proliferar caudillejos que asidos de los más peregrinos pretextos no dejan de reciclarse en la política, como esas pandemias que el tiempo hace resistentes a los antibióticos.  Debemos convenir, sin embargo, que la actual es especialmente virulenta, ya que su agente transmisor usa las ventajas de una tecnología que se creó de los libres y para los libres, pero aún así no me cabe la menor duda que ni con discursejos, ni represión; ni con el hambre, ni con la muerte aniquilará en los venezolanos este destino de ser libres y democráticos que no aniquilaron, sino alimentaron, dictadores que figuran entre los más eficientes de todos los tiempos: Juan Vicente Gómez y Marcos Pérez Jiménez. Venezolanos serios, de poco hablar y menos reir, concentrados en la realización de proyectos que podemos adversar, pero no menospreciar, como que al fin al cabo trajeron un poco de orden en el caos. Sin nada que ver con este circo que llaman “revolución “bolivariana” y que si no fuera porque los payasos cargan el hacha escondida bajo los blusones, sería un espectáculo exitosísimo, ya que también vale desternillarse de risa hasta de los chistes malos.

CHAVEZ AL ATTAC

mapage.noos.fr  por Luis DE LION Domingo 9 de Febrero 2003

El difunto James Tobin, precursor del keynesianismo y creador en 1972 de la homónima tasa, debe estar revolcándose en su tumba; en virtud del uso y abuso que Cassen, Ramonet en su condición de fundadores de ATTAC y ahora Chávez pretenden darle a la idea de Tobin, quien además fue premio Nobel de Economía 1981.

ATTAC al igual que Chávez, no posee un programa, sino un cúmulo de reivindicaciones, donde resalta el establecimiento de la tasa Tobin sobre las transacciones financieras. Dicha tasa, no es otra cosa que un vulgar control de cambios internacional; tal y como Chávez, sin rubor alguno lo hizo entender en su atorrante participación en la romería de los antimundialización realizada en Porto Alegre; en donde por cierto, en un destello de imaginación semántica, los antimundialización decidieron que de ahora en adelante se harían llamar altermundialización.

Las similitudes no cesan, dentro del movimiento ATTAC no se menciona la palabra democracia, de hecho nadie participa en proceso electoral alguno; al tiempo que ATTAC se autoproclama como líder del movimiento altermundialización. En consecuencia y como nunca van a ser gobierno, será muy difícil que logren poner sus ideas en práctica. Es en éste segmento donde Chávez, quien sí es gobierno; y observando y padeciendo los venezolanos el desinterés que éste le otorga al cargo para el cual fue electo; me temo que sería mucho más útil que Hugo Chávez - un icono del movimiento altermundialización - se incorpore activamente y se autodesigne como presidente de ATTAC. De esa manera la implementación de la Tasa Tobin, correrá la misma suerte que lamentablemente padecen los niños de la calle en Venezuela, por solo nombrar una de sus propuestas sin cumplir.

Presidente Chávez, usted está hecho para tareas de jurisdicción ilimitada y Venezuela le está quedando chiquita; como presidente de ATTAC usted seguiría viajando por el mundo con la misma frecuencia y hasta un poco más, sería usted un columnista VIP de Le Monde Diplomatique, le enseñaría a José Bové lo que es un conuco, grabaría un disco con Manu Chao, tendría usted tiempo libre (hay que tenerlo) para leer a Noam Chomsky; y a los hooligans que son el grueso del movimiento les enseñaría a lanzar piedras dada sus dotes de pitcher big-leaguer; para de esa manera evitar pegarle una pedrada al pana Lula o al cabo Gutiérrez, cuando estos asistan a cualquier foro o conferencia internacional, de esas donde ATTAC está siempre presente y consecuente.

Las franelas con la imagen del Ché Guevara, por segunda vez en la historia pasarían de moda; ¿qué le parece lanzar una colección verano-invierno 2003 de franelas con su propia imagen?

Claro que a usted lo pueden catalogar de loco, pero de pendejo tiene poco y en ese sentido sabemos que no se le va a ocurrir ir a visitar al pana Hussein justo cuando en Bagdad los fuegos artificiales sean lanzados de arriba hacia abajo.

Sin duda que el futuro se le perfila prometedor, sin embargo le sugiero que negocie bien y cuanto antes sea posible, su renuncia a la presidencia de Venezuela; para que salga por Maiquetía con la frente en alto, sin cacerolazo y sin pagar exceso de equipaje; que le estará esperando la más alta de todas las tarimas de los altermundialización.

http://www.11abril.com/index/eventos/oraciones_venezuela.html

Oraciones para Venezuela:

Ayúdanos: Ayúdanos Señor en este Nuevo Año a fortalecernos ante los obstáculos, Ayúdanos Señor a enfrentar los retos con conciencia y coraje, Ayúdanos Señor a crecernos ante la adversidad, Ayúdanos Señor a servir con Amor a nuestros niños y a los más necesitados, Ayúdanos Señor para que cada día de este nuevo año seámos más dignos de ti y de esta hermosa Tierra de Gracia que nos diste por Patria. Gracias Señor te damos por estar en nuestros corazones y en nuestras vidas iluminándonos, bendiciéndonos y acompañándonos, ayer hoy y siempre.

Con Amor en Acción por Venezuela y la Humanidad, Amen


Mensaje de La Virgen de Fátima para Venezuela

Estaban 3 venezolanos en Fátima, cuando salió un Tour para Coimbra, sitio donde está el convento donde vive en retiro Sor Lucía (sobreviviente de las primeras apariciones de la Virgen de Fátima a los niños). Sor Lucía al enterarse que habían venezolanos, los mandó a llamar y les dijo:" llorando y llena de emoción : "... la Virgen, con quien estoy en constante conexión... envía un mensaje a Venezuela: "...les van a venir tiempos muy difíciles, tengan calma, mucha fe y oración, porque inmediatamente tendrán una Venezuela transformada, nueva y maravillosa donde vivirán como en un paraíso. Amen"


ORACIÓN POR VENEZUELA

Jesucristo, Señor Nuestro. Acudimos a tí en esta hora de tantas necesidades en nuestra Patria. Nos sentimos inquietos y esperanzados y pedimos la fortaleza como don precioso de tu Espíritu. Anhelamos ser un pueblo identificado con el respeto a la dignidad humana, la verdad, la libertad, la justicia y el compromiso con el bien común. Como hijos de Dios, danos la capacidad de construir la convivencia fraterna, amando a todos sin excluir a nadie, solidarizándonos con los pobres y trabajando por la reconciliación y la paz. Concédenos la sabiduría del diálogo y del encuentro, para que juntos construyamos la "civilización del amor", a través de una participación y de una solidaridad fraterna. Tú nos convocas como nación y te decimos: Aquí estamos, Señor.

Junto a Nuestra Madre, María de Coromoto, para seguir el camino emprendido y testimoniar la fé de un pueblo que se abre a una nueva esperanza. Por eso todos juntos gritamos: ¡Venezuela! ¡Viva y camina con Jesucristo, Señor de la historia! ¡Amén!


Oración a la Virgen de Coromoto

Acordaos, oh amorosísima Virgen de Coromoto, que jamás se ha oído decir que alguno de cuantos han acudido a vuestra protección e invocado vuestro auxilio haya sido desamparado. Llenos, pues, de confianza en vuestros merecimientos acudimos a implorar vuestra intercesión. ¡Oh! Poderosa Patrona de Venezuela, Celeste Tesorera del Corazón de Jesús, de ese Corazón que es fuente inagotable de todas las gracias y el que podéis abrir a vuestro gusto, para derramar sobre los hombres y de manera especial sobre Venezuela, todos los tesoros de amor y misericordia, de luz y de salvación que ese Adorable Corazón encierra. Concédenos, os lo suplicamos humildemente, que se salve nuestra Patria de la tremenda amenaza del Comunismo y que reine la Paz en nuestros hogares y la concordia fraternal entre todos los venezolanos.

¡No, no podemos recibir de Vos, que sois nuestra Patrona, Madre y Reina, desaire alguno!.

Y puesto que Venezuela os pertenece y somos vuestros hijos mimados, dignaos acoger benignamente nuestras súplicas.


Virgen de Altamira

La Imagen de María Reina de La Paz llegó a Maracay hace dos años, a bordo de un avión de la Fuerza Aérea Venezolana, y fue traída hasta Caracas en un vehículo del Ejército Venezolano. Se encontraba en Medjugorje, (se pronuncia Medyugore) una pequeña aldea de Bosnia Herzegovina en donde, desde hace veintiún años, se ha venido sucediendo el fenómeno espiritual más importante para nosotros los católicos: las apariciones de La Virgen María.

Ha recorrido un sin número de casas, edificios, conventos, seminarios, y sobre todo, Iglesias de nuestra capital, en donde se ha orado por la Paz de nuestro País. Hace unos días, a raíz de los tristes sucesos acontecidos en la Plaza Altamira, decidieron llevarla allí. El domingo 8 de Diciembre, día de la celebración de Su Inmaculada Concepción. ¿Por cuánto tiempo? No lo sabemos. La Virgen habla y Ella será quien decida. Es la Inmaculada Concepción, la misma imagen que se encuentra en cada Medalla Milagrosa, la misma imagen que se venera allá en aquel pueblito de Bosnia Herzegovina, la antigua Yugoslavia, en donde la misma Virgen, al segundo día de Sus Apariciones, dijo a los videntes que Ella era La Reina de la Paz. Si por una confusión inexplicable se encargó una y resultaron dos; si en su traslado, por esos extraños designios de La Divina Providencia, intervinieron Marisabel de Chávez, la Fuerza Aérea Venezolana, el Ejército Venezolano y la Guardia Nacional Venezolana; si una imagen quedó en situada en la esquinita de la Capilla de La Casona y la otra en la plaza, inició una peregrinación de dos años por la Paz de Venezuela.... ¿quién puede dudar que debajo de ese Manto Azul estamos sus hijos, los venezolanos, sea cual sea nuestra edad, nuestro sexo, nuestra creencia, nuestro color, nuestra posición política, nuestra condición social?...

Esta es la historia de La Virgen de Altamira, La Virgen de Medjugorje, Maria Reina de La Paz....

Oraciones para Venezuela:

Ayúdanos: Ayúdanos Señor en este Nuevo Año a fortalecernos ante los obstáculos, Ayúdanos Señor a enfrentar los retos con conciencia y coraje, Ayúdanos Señor a crecernos ante la adversidad, Ayúdanos Señor a servir con Amor a nuestros niños y a los más necesitados, Ayúdanos Señor para que cada día de este nuevo año seámos más dignos de ti y de esta hermosa Tierra de Gracia que nos diste por Patria. Gracias Señor te damos por estar en nuestros corazones y en nuestras vidas iluminándonos, bendiciéndonos y acompañándonos, ayer hoy y siempre.

Con Amor en Acción por Venezuela y la Humanidad, Amen


Mensaje de La Virgen de Fátima para Venezuela

Estaban 3 venezolanos en Fátima, cuando salió un Tour para Coimbra, sitio donde está el convento donde vive en retiro Sor Lucía (sobreviviente de las primeras apariciones de la Virgen de Fátima a los niños). Sor Lucía al enterarse que habían venezolanos, los mandó a llamar y les dijo:" llorando y llena de emoción : "... la Virgen, con quien estoy en constante conexión... envía un mensaje a Venezuela: "...les van a venir tiempos muy difíciles, tengan calma, mucha fe y oración, porque inmediatamente tendrán una Venezuela transformada, nueva y maravillosa donde vivirán como en un paraíso. Amen"


ORACIÓN POR VENEZUELA

Jesucristo, Señor Nuestro. Acudimos a tí en esta hora de tantas necesidades en nuestra Patria. Nos sentimos inquietos y esperanzados y pedimos la fortaleza como don precioso de tu Espíritu. Anhelamos ser un pueblo identificado con el respeto a la dignidad humana, la verdad, la libertad, la justicia y el compromiso con el bien común. Como hijos de Dios, danos la capacidad de construir la convivencia fraterna, amando a todos sin excluir a nadie, solidarizándonos con los pobres y trabajando por la reconciliación y la paz. Concédenos la sabiduría del diálogo y del encuentro, para que juntos construyamos la "civilización del amor", a través de una participación y de una solidaridad fraterna. Tú nos convocas como nación y te decimos: Aquí estamos, Señor.

Junto a Nuestra Madre, María de Coromoto, para seguir el camino emprendido y testimoniar la fé de un pueblo que se abre a una nueva esperanza. Por eso todos juntos gritamos: ¡Venezuela! ¡Viva y camina con Jesucristo, Señor de la historia! ¡Amén!


Oración a la Virgen de Coromoto

Acordaos, oh amorosísima Virgen de Coromoto, que jamás se ha oído decir que alguno de cuantos han acudido a vuestra protección e invocado vuestro auxilio haya sido desamparado. Llenos, pues, de confianza en vuestros merecimientos acudimos a implorar vuestra intercesión. ¡Oh! Poderosa Patrona de Venezuela, Celeste Tesorera del Corazón de Jesús, de ese Corazón que es fuente inagotable de todas las gracias y el que podéis abrir a vuestro gusto, para derramar sobre los hombres y de manera especial sobre Venezuela, todos los tesoros de amor y misericordia, de luz y de salvación que ese Adorable Corazón encierra. Concédenos, os lo suplicamos humildemente, que se salve nuestra Patria de la tremenda amenaza del Comunismo y que reine la Paz en nuestros hogares y la concordia fraternal entre todos los venezolanos.

¡No, no podemos recibir de Vos, que sois nuestra Patrona, Madre y Reina, desaire alguno!.

Y puesto que Venezuela os pertenece y somos vuestros hijos mimados, dignaos acoger benignamente nuestras súplicas.


Virgen de Altamira

La Imagen de María Reina de La Paz llegó a Maracay hace dos años, a bordo de un avión de la Fuerza Aérea Venezolana, y fue traída hasta Caracas en un vehículo del Ejército Venezolano. Se encontraba en Medjugorje, (se pronuncia Medyugore) una pequeña aldea de Bosnia Herzegovina en donde, desde hace veintiún años, se ha venido sucediendo el fenómeno espiritual más importante para nosotros los católicos: las apariciones de La Virgen María.

Ha recorrido un sin número de casas, edificios, conventos, seminarios, y sobre todo, Iglesias de nuestra capital, en donde se ha orado por la Paz de nuestro País. Hace unos días, a raíz de los tristes sucesos acontecidos en la Plaza Altamira, decidieron llevarla allí. El domingo 8 de Diciembre, día de la celebración de Su Inmaculada Concepción. ¿Por cuánto tiempo? No lo sabemos. La Virgen habla y Ella será quien decida. Es la Inmaculada Concepción, la misma imagen que se encuentra en cada Medalla Milagrosa, la misma imagen que se venera allá en aquel pueblito de Bosnia Herzegovina, la antigua Yugoslavia, en donde la misma Virgen, al segundo día de Sus Apariciones, dijo a los videntes que Ella era La Reina de la Paz. Si por una confusión inexplicable se encargó una y resultaron dos; si en su traslado, por esos extraños designios de La Divina Providencia, intervinieron Marisabel de Chávez, la Fuerza Aérea Venezolana, el Ejército Venezolano y la Guardia Nacional Venezolana; si una imagen quedó en situada en la esquinita de la Capilla de La Casona y la otra en la plaza, inició una peregrinación de dos años por la Paz de Venezuela.... ¿quién puede dudar que debajo de ese Manto Azul estamos sus hijos, los venezolanos, sea cual sea nuestra edad, nuestro sexo, nuestra creencia, nuestro color, nuestra posición política, nuestra condición social?...

Esta es la historia de La Virgen de Altamira, La Virgen de Medjugorje, Maria Reina de La Paz....